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À propos de Nous!

Actualités cynégétiques.

Mise en garde !!!

Par autorisation préfectorale des pièges sont installés dans nos collines (en accord avec le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-8, L.427-9 et R.427-6 à R.427-25), Chaque piège porte un numéro d’agrément qui l’authentifie auprès de la préfecture. Les pièges manquant sont immédiatement déclarés à la Gendarmerie.
!!! Attention ; Toute personne qui sera surprise en action de vol ou de vandalisme envers ces pièges, sera sanctionnée d’une forte amende.
Cette mise en garde s’adresse aux personnes fréquentant nos collines et qui pensent être « ECOLO » et « protecteur de la nature » en détruisant les pièges prévus pour diminuer la population de nuisibles tel que : le renard, la fouine, la belette, etc.… Porteurs de maladies transmissibles à l’homme.
Les chiens pris sont donnés à la S.P.A. « que nous finançons »
Les chats sont relâchés, en espérant qu’ils n’y reviennent plus.

Le Bureau. Association Amicale des Chasseurs de Cabriès Calas


Protection de l’environnement par l’Association Amicale des Chasseurs de Cabriès-Calas.

La saison de chasse dure quatre mois, du début de mois de septembre au début du mois de janvier.
Pendant les huit mois de fermeture réglementaire de la chasse que font les membres actifs de l’Amicale des Chasseurs de Cabriès ? Ils s’occupent à entretenir « la vie » dans les collines de notre commune dont 60% du territoire est classé en zone naturelle soit 2230 hectares.

Cela vous surprend ? Les chasseurs sont écologistes !

Ils installent et approvisionnent régulièrement les « manges » (voir photo), tubes à grains destinés à nourrir la faune qui en raison de la disparition des cultures ne trouve plus de quoi se nourrir.
Lors de vos promenades en forêt, vous avez certainement rencontré ces « manges », ne vous étonnez pas des grilles qui les entourent, elles laissent passer les petits animaux comme les lapins, perdreaux, faisans, etc.…mais protégent des sangliers ravageurs de plus en plus nombreux. En cinq minutes un sanglier peut avaler 10kg de grains et vider totalement le tube.
Vous voyez aussi à coté des mangeoires des abreuvoirs bâtis par les chasseurs, ils sont nettoyés et remplis d’eau afin d’abreuver la sauvagine, surtout en été.

Il arrive souvent que ces installations soient détériorées certainement par ignorance. Sachez qu’en les respectant c’est la faune qui est préservée de la faim et de la soif.
Même si vous n’étes pas favorable à cet « art de vivre » qu’est la « chasse passion » pratiquée depuis toujours sur notre territoire, vous étes certainement sensible à la survie de la petite faune et à l’écosystème.
La régression de la faune locale n’est pas due à la chasse (les chasseurs sont moins nombreux que dans le passé) mais au comportement des individus vis à vis de la nature : promeneurs indélicats, engins à moteurs, déboisements mal conduits, chiens errants et chats sauvages.

L’Amicale des Chasseurs vous remercie de l’attention que vous porterez aux équipements lorsque vous les rencontrerez à l’occasion de vos promenades, elle compte sur vous pour protéger nos collines.

André GUIONNET

 

LES CHASSEURS AU SECOURS DE LA FORET

L’Association Amicale des Chasseurs de Cabriès (A.A.C.C.) s’est mobilisée dès le début des chûtes de neige.
Contrairement à l’idée reçue du « vil prédateur dont le seul bût est de tuer le gibier », le chasseur est préoccupé aujourd’hui plus que jamais par l’extrême fragilité de la forêt méditerranéenne et par sa gestion durable.

Régulièrement, les membres de l’AACC se mobilisent afin d’entretenir cet espace indispensable à la vie. Ils veillent à ce que les accès forestiers soient praticables en toutes saisons. Généralement maintenus fermés par des barrières réglementaires, ces chemins sont vitaux en cas d’incendie où de secours. Ils permettent aux chasseurs d’entretenir et de ravitailler les tubes à grains, les abreuvoirs, de fabriquer des clapiers et autres abris favorisant le gite et l’acclimatation du gibier de repeuplement (lapins, perdreaux, faisans), maillon important de la chaine alimentaire des collines.
Cet hiver, des pins, peu habitués aux poids de la neige et à la terre gorgée d’eau, se sont abattus sur ces chemins rendant la forêt inaccessible. Les chasseurs, sans attendre, ont avec leurs propres moyens dégagés les principaux accès. Beaucoup reste à faire, ils s’y emploient énergiquement.
Même avec la bonne volonté et la forte motivation de nos Amis des Six Collines et l’aide des collectivités (commune, CPA, CG13, ONF), il est impossible, ici comme ailleurs, après un tel sinistre, de débarrasser nos collines du bois mort qui l’encombre et accroit considérablement le risque d’incendie dès le printemps, mais aussi le risque d’accidents corporels par chutes de branche. La plus grande prudence et vigilance est recommandée à tous.

Que nous soyons promeneurs, randonneurs, chasseurs, coureurs, vététistes, cavaliers prenons soins ensemble de notre environnement forestier, il est notre patrimoine à TOUS.
Le bureau de l’AACC

Art. Du 16 septembre 2009